A Internacional

__ dementesim . . Do rio que tudo arrasta se diz que é violento Mas ninguém diz violentas as margens que o comprimem. . _____ . Quem luta pelo comunismo Deve saber lutar e não lutar, Dizer a verdade e não dizer a verdade, Prestar serviços e recusar serviços, Ter fé e não ter fé, Expor-se ao perigo e evitá-lo, Ser reconhecido e não ser reconhecido. Quem luta pelo comunismo . . Só tem uma verdade: A de lutar pelo comunismo. . . Bertold Brecht
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sábado, novembro 25, 2017

Lavage de cerveau versus Éducation: L’Occident répand l’idiotie intellectuelle universelle

Mondialisation.ca, 29 août 2015

Est-ce qu’un dictateur pourrait désirer mieux? La population entière de l’Empire, ou presque, pense maintenant de la même manière!
La population est instruite dans les écoles et le personnel des universités est composé d’enseignants et de professeurs soumis et lâches.
La population est informée par des centaines de milliers de journalistes et d’analystes serviles. Il n’y a pratiquement pas d’écart par rapport au récit officiel.
Félicitations, l’Empire occidental! Vous avez réussi là où d’autres ont échoué. Vous avez obtenu une obéissance et une discipline presque absolues, une servilité totale.

Et encore mieux, la plupart des gens pensent réellement qu’ils sont libres, qu’ils ont le contrôle. Ils croient qu’ils peuvent choisir, qu’ils peuvent décider. Ils sont convaincus que leur civilisation est la plus grande civilisation que la Terre ait jamais connue!
***
Des dizaines de millions font la queue, volontairement, demandant à être instruits pour obtenir à la fin un de ces diplômes impériaux officiels. Ils veulent être acceptés, certifiés et loués par les dirigeants.
Les gens offrent leurs propres têtes courbées à une intervention complexe et prolongée de lobotomie. En échange de chiffons de papier timbré nommés diplômes, des hommes et des femmes perdent, pour toujours, leur capacité à penser de manière indépendante, à analyser et à voir le monde de leurs propres yeux. En guise de récompense pour leur soumission, leurs chances d’obtenir des postes prestigieux dans les bataillons d’élite du régime, institutions, universités et autres, augmentent de manière spectaculaire.
Le degré extrême de conformité de la majorité des hommes et des femmes vivant dans nos sociétés rend les vieux livres comme Fahrenheit 451 et 1984 modérément dérangeants. Notre réalité de 2015 est beaucoup plus psychédélique, bizarre et effroyable… et scandaleuse aussi!
La plupart des citoyens sont même prêts maintenant à payer de leur poche (ou de celle de leur famille) pour ces chirurgies du cerveau éducatives et propagandistes; ils sont désireux de s’endetter lourdement pour être soigneusement programmés et endoctrinés. Plusieurs années plus tard, lorsque tout est fini et que rien n’est resté de leur individualité, ils bombent le torse avec orgueil et souvent ils pleurent lorsqu’ils reçoivent ce morceau de papier timbré qui ne signifie en fait qu’une chose: «Admis, accepté et certifié – prêt à servir et à être utilisé par l’Empire et son régime fasciste.» 
Des millions d’étrangers se bousculent pour bénéficier aussi de cette lobotomie. Ceux qui viennent des pays colonisés et détruits sont souvent les plus impatients. Les enfants des élites sont excités à la perspective de recevoir le sceau d’approbation de l’Empire, pour être moulés, pour se fondre dans les masses en Europe ou en Amérique du Nord. Après l’obtention de leur diplôme et après leur retour à la maison, ils ajoutent leurs titres partout sur leurs cartes de visite, ils augmentent leurs tarifs et demandent du respect pour leurs manières occidentales et leur collaboration intellectuelle avec l’Empire. Ensuite, beaucoup d’entre eux s’occupent à voler et à endoctriner leurs compatriotes pour le compte de l’Occident.
Dans de nombreux pays, il n’y a même aucune raison de quitter la maison. Le lavage de cerveau occidental est facilement accessible par le biais des innombrables écoles privées, chrétiennes et internationales, des églises, des institutions culturelles et, bien sûr, du divertissement.
Même des pays comme la Chine, qui peuvent compter sur des cultures beaucoup plus grandes et plus anciennes que la culture occidentale, sont maintenant terriblement influencés par leurs propres fils et filles, qui ont été programmés à croire dans la grandeur de la civilisation occidentale. Ils ont été endoctrinés soit dans les établissements éducatifs à l’étranger, soit par les armées d’éducateurs occidentaux, savants et prédicateurs, de plus en plus occupés à voyager et à répandre leur évangile toxique partout dans le monde.
Au lieu que soit dispensé un savoir diversifié et multiculturel, les écoliers et les étudiants ont reçu des doses d’endoctrinement calculées avec précision, bien éprouvées au cours des siècles d’impérialisme et de colonialisme. Maintenant, l’Empire sait extrêmement bien comment manipuler l’esprit humain. Celles et ceux qui sont violés sont forcés de croire qu’ils ont fait l’amour. A ceux qui ont été dépouillés indistinctement, on enseigne à encenser les puissances coloniales pour avoir construit leurs bâtiments administratifs et leurs chemins de fer, et on enseigne aux gens sur place à ne ressentir aucune honte pour leur passé et leur présent.
Au lieu d’être encouragés à penser de manière indépendante, au lieu d’être invités à révolutionner leur pensée elle-même, les gens sont ligotés, prisonniers de carcans intellectuels austères.
Le courage et l’indépendance d’esprit sont systématiquement dénigrés et rabaissés. Les âmes rebelles sont étiquetées inemployables, presque comme antisociales.
La couardise, la soumission et la médiocrité sont promues et commercialisées par le système extrêmement complexe et diversifié de la propagande, la publicité, les événements culturels et de divertissement et les médias.
Dans un monde totalement uniforme, où même la culture et les médias sont au service de l’Empire et de ses intérêts commerciaux néolibéraux, le Nouvel Homme et la Nouvelle Femme sont pétris dans l’argile intellectuelle, et ensuite placés sur des socles massifs : tous sont grands et minces, tous régurgitent éloquemment et bruyamment des clichés, évitant soigneusement les véritables questions, communiquant intensément avec les autres à propos de rien, tout en restant incroyablement ignorants du monde.
Les Nouveaux Humains sont tous souriants et ont l’air très cool. Ils conduisent les derniers modèles de voitures et tiennent des gadgets modernes dans leurs mains. Ils ont confiance en eux et sont constamment égoïstes. Leurs fesses sont de plus en plus parfaites, et stéréotypées.
Beaucoup d’entre eux prennent des sédatifs, des antidépresseurs ou des drogues, la plupart d’entre eux sont malheureux, peu sûrs d’eux, mécontents de leur travail, malheureux dans leur famille, incapables de trouver ou de chercher leur deuxième moitié. Tout cela, bien sûr, ne se montre pas! En apparence, d’innombrables hommes et femmes occidentaux ont l’air ravissants!
Les fascistes italiens et allemands ont essayé désespérément de créer cette race de super-humains en apparence sûrs d’eux, mais obéissants.
Ils ont échoué.
Mais cet Empire est en train de réussir! Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, il existe une chance que les robots remplacent finalement les êtres humains. Pas les robots de plastique et de métal, mais des humains reconditionnés, recyclés en robots.
Le fascisme italien, le nazisme allemand, le corporatisme des États-Unis, l’impérialisme, le racisme, le colonialisme, l’exceptionnalisme, la propagande, la publicité, l’éducation – tout cela a été habilement entrelacé.
Félicitations, l’Empire! Vous êtes le premier à avoir réussi à standardiser les êtres humains et leur façon de penser!
***
Ce n’est pas facile de combattre un tel Empire, avec des paroles et des idées.
Ce n’est pas seulement la logique ou la philosophie générale des concepts qu’il faut affronter, et défier.
Il y a aussi des milliers de perceptions, de dogmes, de codes, tous poursuivant le même but – maintenir les gens loin de la réalité et d’un mode de pensée et d’analyse indépendants.
La plupart des citoyens de l’Empire occidental sont en fait beaucoup plus endoctrinés que les membres de groupes tels que les talibans ou État islamique, parce que l’Empire travaille très dur et emploie des millions de professionnels qui créent des concepts extrêmement efficaces destinés à contrôler les esprits humains: des idéologues aux psychologues, en passant par les propagandistes, les éducateurs, les artistes, les journalistes et d’autres personnes hautement spécialisées.
Des médias sociaux aux séries télévisées, en passant par les films de Hollywood, la musique pop et les chaînes de télévision, presque tout mène dans la même direction – entraîner les gens loin des principes de base de l’humanisme. Les forcer à ne pas penser comme un groupe de personnes rationnelles, bienveillantes, compassionnelles.
La réalité est soit banalisée soit portée à des niveaux fantasmagoriques auxquels nulle logique ne peut être efficacement appliquée.
Le destin le plus important de la pensée humaine – réfléchir, rêver et concevoir de nouvelles formes bien meilleures et plus douces pour la société – est totalement absent du récit auquel les hommes, les femmes et les enfants de l’Empire et de ses colonies sont confrontés quotidiennement.
Les citoyens de l’Empire sont empêchés de penser et d’agir de manière naturelle. Résultat, ils sont frustrés, déprimés et confus. Mais au lieu de se rebeller (la plupart d’entre eux n’en sont pas capables, de surcroît), ils deviennent de plus en plus agressifs. Tandis que les victimes de l’Empire, dans le monde entier, sont assassinées, exploitées et humiliées, l’organisation du monde apporte en fait très peu de joie (malgré de nombreux bénéfices matériels) aux citoyens de l’Empire – les Européens et les Nord-Américains.
À l’autre extrême: des milliards de gens dans les anciennes colonies et dans les néo-colonies sont aussi bombardés, constamment, par les mêmes messages tordus, recyclés et modifiés [et trop souvent des vraies bombes, NdT]. Ils sont confrontés à une avalanche perpétuelle de propagande (légèrement modifiée pour chaque région particulière), ruisselant jour et nuit des canaux d’endoctrinement de l’empire : les feuilletons télévisés, le plus bas niveau des films et des jeux vidéo (la même chose, vraiment), la musique pop avec des paroles répétitives relevant de la mort cérébrale, l’art décoratif inoffensif et les reportages publiés par les agences de presse dominantes. Ces messages sont diffusés via les organes de presse locaux qui sont à leur tour principalement contrôlés par des intérêts commerciaux qui collaborent résolument avec le régime mondial occidental.
L’Empire et son organisation du monde sont outrageusement racistes et brutaux, mais la plupart de ses citoyens, même ses sujets dans les territoires dévastés, sont forcés de croire qu’il ont effectivement le système le plus tolérant et progressiste sur terre.
***
Y a-t-il un espoir que l’humanité survive à cette production de masse de l’idiotie?
Oui, bien sûr qu’il y en a un!
La bataille a commencé.
Ce ne sont pas seulement les manœuvres des marines russes, chinoises et iraniennes qui contestent actuellement l’impérialisme occidental.
Ce ne sont pas seulement les Latino-américains et les Sud-Africains qui ont fait des efforts décisifs pour récrire l’histoire et pour armer le peuple avec des connaissances plutôt qu’avec des diplômes.
Peut-être le plus grand cinéaste européen actuellement en vie, Emir Kusturica, a récemment écrit, sarcastique, que «la Troisième Guerre mondiale commencera avec le bombardement de RT par le Pentagone», en se référant au puissant réseau de télévision Russia TodayRT a commenté :
«RT est une réelle menace pour la propagande états-unienne puisqu’elle atteint les Américains chez eux, dans un anglais parfait, meilleur que celui qu’ils utilisent sur CNN.» Et c’est pourquoi, selon le directeur, Washington pourrait en avoir assez et chercher à faire taire RT par la force – un peu comme l’Otan l’a fait avec la télévision d’État serbe en avril 1999.
À son tour, Kusturica prédit que Moscou détruirait CNN, qu’il considère comme le porte-drapeau de la propagande pro-américaine: «CNN, dans ses transmissions en direct, assure que depuis les années 1990, l’Amérique a mené des actions humanitaires, et non des guerres, et que ses avions militaires font pleuvoir des anges, pas des bombes!»
Bien que quelques-uns des plus grands penseurs qui affrontaient l’Empire – Saramago, Galeano et Pinter – soient récemment décédés, il en y a encore beaucoup qui parviennent à échapper à l’endoctrinement. Certains se regroupent autour des chaînes de télévision non occidentales comme TeleSUR, RT et PressTV.
C’est comme le Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, de nouveau. Certaines personnes, obstinément, refusent de brûler leurs livres.
Même en Occident, certains médias puissants – CounterPunch, Dissident Voice, ICH, VNN, Global Research, et d’autres – gardent le cap. Ils ne gagnent pas encore, loin de là, mais ils ne meurent pas non plus!
Tant que la pensée indépendante est vivante, tout n’est pas perdu.
«Je me révolte ; donc nous existons», a écrit le philosophe français Albert Camus. Il a ajouté aussi : «Le sentiment de révolte est né dans l’oppression.»
L’Empire nie qu’il opprime le monde. Il endoctrine à la fois les oppresseurs et les opprimés, redéfinissant, et en fait convertissant l’oppression en liberté.
Ceux d’entre nous qui parviennent à échapper à son endoctrinement se révoltent aujourd’hui. Par conséquent, l’humanité existe encore.
Le champ de bataille devient très bien défini : il se passe maintenant sur le plan de l’information et de la connaissance.
Les actes, les ruses pratiqués par l’Empire sont sales, horribles, mais très transparents. Ils peuvent être acceptés ou tolérés par des milliards de gens uniquement grâce à la répétition permanente des mensonges, et à cause des concepts tordus martelés dans les cerveaux des gens au travers de l’enseignement dominant.
La guerre pour la survie de l’humanité est déjà en cours. C’est la Grande Guerre humaniste– la guerre sur les esprits et les cœurs des gens, pas sur un territoire. On peut aussi l’appeler la guerre de l’information, une guerre de désintoxication, ou une guerre pour ramener les êtres humains à la vie en les sortant de leur intoxication, de leur torpeur et de leur servilité, une guerre pour un monde bien meilleur, une guerre qui mettrait la connaissance au-dessus des diplômes tamponnés, la chaleur humaine et la gentillesse au-dessus de la violence et de l’agression, et les êtres humains au-dessus des profits et de l’argent.
La victoire ne pourra intervenir qu’accompagnée par la connaissance, la pensée indépendante, l’humanisme rationnel, la compassion, la solidarité, et enfin la chaleur humaine.
Andre Vltchek

Article original :
The Disappearing Intellectual in the Age of Economic Darwinism
Traduit par Diane, relu par jj pour le Saker francophone
Andre Vltchek est philosophe, romancier, réalisateur et journaliste d’investigation. Il a couvert guerres et conflits dans des dizaines de pays. Ses derniers livres parus sont : Exposing Lies Of The Empire et Fighting Against Western Imperialism. Discussion avec Noam Chomsky : On Western TerrorismPoint of No Return est un roman politique acclamé par la critique. Oceania traite de l’impérialisme occidental dans le Pacifique sud. Enfin, son livre provocateur sur l’Indonésie : Indonesia – The Archipelago of Fear.
Andre réalise aussi des films pour teleSUR et Press TV. Après avoir passé de nombreuses années en Amérique Latine et en Océanie, Vltchek réside et travaille aujourd’hui en Extrême-Orient et au Moyen-Orient. Vous pouvez le contacter sur son site Internet ou sur Twitter.

sexta-feira, agosto 02, 2013

João Vilela - A Sagração da Desigualdade – III: Deixa-te de Políticas


«De forma que, certo dia
À mesa, ao cortar o pão
O operário foi tomado
De uma súbita emoção
Ao constatar assombrado
Que tudo naquela mesa
- Garrafa, prato, facão -
Era ele quem o fazia
Ele, um humilde operário
Um operário em construção

Olhou em volta: gamela
Banco, enxerga, caldeirão,
Vidro, parede, janela,
Casa, cidade, nação,
Tudo, tudo o que existia,
Ele, um humilde operário,
Um operário que sabia
Exercer a profissão!»

(in O Operário em Construção, de Vinicius de Moraes)
Vimos de que forma o trabalhador se dá conta de como existe entre ele e o patrão uma relação de compra e venda de força de trabalho, e se torna regateador perante o segundo, procurando vender-lha por preço mais alto. Este primeiro passo, que demonstrámos vir ainda enredado e maculado por uma adesão à moral burguesa que cauciona e institui como pressuposto da conversa a subalternidade social do explorado, é todavia, já de si, de grande monta: se a mercadoria força de trabalho for objecto da mesma gestão, pelos trabalhadores, que os capitalistas devotam aos produtos que leva ao mercado, encurta-se a taxa de mais-valia, e a razão de ser fundamental das relações de produção capitalistas fica comprometida. A tendência para a venda das mercadorias pelo seu custo antagoniza-se com outra tendência, a da redução do salário ao mínimo indispensável à subsistência: e esse antagonismo, que é a expressão material do antagonismo de classe, verte-se na repressão dos (ainda) rogos dos trabalhadores, com extrema brutalidade em alguns dos casos. Esta atitude do patrão permite ao explorado compreender que lhe importa dar o salto para fora dos quadros mentais dentro dos quais organiza a sua argumentação reivindicativa: porque é despedido, vítima de represália, repreendido, empregue nos trabalhos mais penosos, porque é que em último caso o agride a polícia (logo a polícia – porquê a polícia?!) quando ele faz o que qualquer vendedor faz, ou seja, procurar melhor preço de venda para um produto seu? A luta vai tornando o trabalhador progressivamente mais consciente de todas estas contradições e ajuda-o a forjar a sua ideologia de classe, a qual vem associar-se, como vemos nos versos que abrem este texto, a uma progressiva consciencialização da importância social do trabalho, e do trabalhador como produtor. É aí, compreende o trabalhador no auge da sua consciência, que reside o essencial do problema: a característica essencial da mercadoria que vende, a força de trabalho, é a de conferir valor e transformar o capital, de coisa morta e improdutiva, em valor de uso e de troca. É essa característica que é disputada entre si e o patrão. Em última análise, todos acabam por o perceber, fica com o valor quem tem os meios de produção. E essa vem sendo a grande saga, a grande luta, do movimento operário com a burguesia que o explora.
Quando a consciência de classe dos trabalhadores aqui chega, o patrão deita mãos à cabeça e lamenta não ter deixado as coisas como estavam quando, pela primeira vez, os seus subordinados lhe vieram tentar vender a pele mais cara. Com efeito, a repressão que sobre eles exerceu foi o que foi e não podia, aliás, ter sido de outra maneira. Era o fundamento das relações de produção que estava em risco. Ele já o sabia. Todavia, em face da sua repressão, os trabalhadores ficaram também a sabê-lo. Compreendem agora na globalidade o processo histórico que os integra, sabem onde reside o problema real, e querem uma solução que erradique esse problema. Não transigirão com alguma caridade, nem sequer com muita cedência. Passaram, simplesmente, a não reconhecer ao patrão o direito de o ser. A este só lhe restam dois caminhos: o de um esforço de convencimento dos trabalhadores sobre a validade e relevância social do seu estatuto, que o fará mandar os trabalhadores para uma escola que lho ensine (e já agora os adestre para o trabalho), e conceber ulteriormente todo um arsenal de bombardeamento ideológico, nos jornais, nas rádios, na televisões, no cinema, na publicidade, que atribua à divisão da sociedade em classes um glamour que a torne digerível; e quando esta conversa não pega e os trabalhadores partem para a greve, a manifestação, a desobediência civil, os demais actos de insubordinação e avanço transformador da sociedade, um aumento progressivo da repressão a mover contra eles, que atingiu o seu pico na constituição das ditaduras fascistas.
A sagração da desigualdade só é possível com uma transigência, a partir daqui. E essa transigência é a de aceitar a discussão com os trabalhadores, sim – contanto estes aceitem um regresso à pressuposição da sua subalternidade e abdiquem das reivindicações caracterizadas por maior radicalidade. O patrão já tolera falar de melhores salários, já admite alargar o período de descanso, já consente que lhe sugiram o pagamento de férias, já apoia na doença, na velhice, na maternidade, na invalidez, no desemprego. A menos que o sistema entre em crise e lhe seja preciso, para obviar a quebra da taxa de lucro, ir buscar uma fatia da riqueza social alocada até aí ao trabalho, ou que a correlação de forças se inverte por alguma forma de desorganização dos trabalhadores (que o patrão incessantemente promoverá), transigirá com reformas, até ao limite da resistência. Desde que o coração do sistema, a propriedade privada dos meios de produção e a extracção de mais-valia por meio dela, fiquem de fora. Tal pedido, afirma o patrão aos operários que o escutam, já cruza a linha do razoável, do pragmático, e torna-se um pedido perversamente «ideológico» e «político». E política não. «Deixa-te de políticas, que a tua política é o trabalhinho», cantava Zé Mário Branco. E pregam os patrões há anos e anos.
Dizíamos que o patrão promoverá, incessantemente, a desorganização dos trabalhadores. Sabe cedo uma verdade que Lenine ensinou: a de que no capitalismo a única arma dos explorados é a sua organização como classe para a luta. Essa desorganização tem como ferramenta mais preciosa a da exploração habilidosa da desigualdade na consciencialização política entre o conjunto dos trabalhadores. É que se o adensar da resistência dos trabalhadores vai criando as condições para  a sua progressiva consciencialização política, consciencialização de classe, o processo de coisificação dos trabalhadores que ontem vimos não cessa: e é além disso auxiliado, fora do local de trabalho, por poderosos aparelhos ideológicos que instituem e difundem nas mais variadas tonalidades a ideologia do patrão, e veiculam uma mensagem de mediocrização social do trabalhador. A isto não pode deixar de se associar a vigência, a despeito da resistência, do «esquema de caserna», com oficiais subalternos, sargentos, e uma hierarquia de supervisores, contramestres, capatazes, directores disto e daquilo, até aos «generais» detentores da empresa, que impõe uma disciplina aterradora num local de trabalho onde as liberdades tão caras ao burguês raras vezes entram. Some-se ainda a isto o efeito dissuasor que a repressão, ou a sua possibilidade, tem junto de alguns, e o efeito que o suborno pode ter na criação de bufos e amarelos – e temos criadas todas as condições para que a classe se desorganize, e se consigam manter as reivindicações dentro da moral burguesa, da disputa pelo preço a que é vendida a força de trabalho, e nunca pela questão radical de a quem pertencem os meios de produção. Em tal caso, o patrão até acolhe a discussão com o trabalhador: toma-a por benfazeja, porque afinal é a conversar que a gente se entende, e demonstrativa de como, sem vozearias nem palavras de ordem, se pode negociar calmamente, em gabinetes atapetados e com a intervenção salvífica e supraclassista da lei, como se reparte, na observância de uma «natural» desigualdade entre classes, a riqueza que se produz. O patrão consagra a desigualdade, curiosamente, admitindo que se discuta a desigualdade. Desde que não seja para erradicar essa desigualdade. Isso já é política. E o trabalhador deve deixar a política «para quem sabe», não tem direito de se meter nela – fazendo-o, entra pelo campo funesto das «reivindicações ideológicas», foge ao consenso, está de má fé.

quinta-feira, agosto 01, 2013

João Vilela - A Sagração da Desigualdade – II: Pobrezinhos mas honestos


A Sagração da Desigualdade – II: Pobrezinhos mas honestos

maningear
Perante a meritória burguesia de que ontem falávamos, surge a massa dos réprobos, dos inferiores, dos que nunca chegaram, dos fracos, dos pobres.
Há relativamente a eles, da parte dela, muito pouca noção do que os distingue fundamentalmente de outro aparelho qualquer. As moderníssimas teorias de gestão falam indistintamente de «recursos» para referirem verbas disponíveis, materiais de trabalho, mercadorias em stock, e os «recursos humanos» da empresa. Tudo está ali, à mão, para a isso se «recorrer» quando necessário. E a concepção não é de agora: para não irmos buscar os objectos animados e inanimados do velhinho Aristóteles, veja-se como era definida, por «especialista» britânico do séc. XIX, a noção de fábrica: «autómato imenso composto de numerosos órgãos, uns mecânicos outros conscientes, que operam de mútuo acordo e ininterruptamente para produzir um objecto comum, subordinados a uma força motriz que se regula a si mesma». Órgão consciente de um imenso autómato, parte integrante, peça da fábrica. Esse é o seu estatuto: apendicular e subalterno, dominado, à disposição de quem o dirige. Enquanto variável independente e autor do seu destino não existe. Assim se caracteriza, nos termos de Marx, a sociedade do sistema fabril moderno.
Naturalmente, esse estatuto não é tolerável sem resistência pelo dominado. O que não significa que essa intolerância seja, imediatamente, uma rejeição radical do modo de produção. Aliás, nunca significou. Vejamos o tempo em que a burguesia era uma classe dominada na sociedade senhorial, e descrevia o seu percurso histórico rumo ao estatuto de classe dominante: o fito do prestamista, do mercador, do pequeno manufactureiro ou do armador de navios não era, desde o início, o derrube da aristocracia e o guilhotinamento do rei. Se pudesse, almejava ascender à nobilitação. Se tal lhe estivesse vedado, procurava a justificação, dentro do quadro de valores da época – e nesse ponto a lógica do «engrandecimento do reino» e do «robustecimento da fazenda do rei» foi determinante -, para o exercício das actividades a que se dedicava, e que eram as mais das vezes criminosas. O mesmo ocorre, naturalmente, com o proletário dentro do sistema burguês: o desenvolvimento da sua consciência de classe, da percepção da real amplitude do problema no que concerne às relações de exploração e opressão, do papel da propriedade privada dos meios de produção no estabelecimento das contradições do sistema, de como estas são apenas resolúveis pela acção revolucionária – tal é um moroso processo de consciencialização. O que estabelece um hiato entre a opressão que se abate sobre o trabalhador e a consciência política que este tem, que o compele para a luta, mas para uma luta a que chega desarmado num primeiro momento.
Marx coloca nos seguintes termos, n’O Capital, o discurso do trabalhador que «subitamente» toma a palavra «quando estava emudecido no turbilhão do processo produtivo»: «tu e eu só conhecemos, no mercado, uma lei, a da troca de mercadorias. E o consumo da mercadoria não pertence ao vendedor que a aliena, mas ao comprador que a adquire. Pertence-te, assim, a utilização da minha força diária de trabalho. Mas, por meio do seu preço diário de venda, tenho de reproduzi-la para poder vendê-la de novo (…) preciso ter amanhã, para trabalhar, a força, a saúde, a disposição normal que possuo hoje. Estás continuamente a pregar-me o evangelho da parcimónia e da abstinência. Muito bem: quero gerir o meu único património, a força de trabalho, como um administrador racional, parcimonioso, abstendo-me de qualquer gasto desarrazoado (…) sem fazer apelo ao teu coração, que quando se trata de dinheiro não há lugar para bondade». O humor de Marx é conhecido, já o disse, mas julgo que esta passagem é, por inteiro, para levar a sério: este é o ponto de partida de todo o trajecto de luta que levará à revolução e ao socialismo, mas ele começa aqui, neste ponto e desta forma. O primeiro utensílio teórico de que o trabalhador dispõe para se bater com o patrão é, nada menos, a própria moral de classe do patrão. Coloca-se a si mesmo num ponto análogo (e não diferente, e muito menos antagónico) ao de quem o explora, reconhecendo abertamente com quem aprendeu («estás continuamente a pregar-me», note-se!), e manejando, a seu favor, a moral de classe da burguesia. Marx não podia ser mais claro quando, linhas abaixo, põe na boca do operário a sua primeira reivindicação: «exijo uma jornada de trabalho normal [sic], porque exijo o valor da minha mercadoria, como qualquer vendedor» (o itálico é meu). É escusado repetir o que acima vai dito: a primeira reivindicação dos trabalhadores é, claramente, uma reivindicação «comercial», decalcada dos códigos de conduta e das regras que normalizam o capitalismo. Os homens são em essência, é bem verdade, a soma das suas condições sociais.
A luta assim movida, no fundo transformada num exercício de exegese da moral do patrão e de emulação dos seus comportamentos no trato com fornecedores e clientes, comporta dificuldades que só o salto qualitativo da consciência de classe e da ideologia proletária vai suplantar. A grande dificuldade inicial é que ela é o ponto central na sagração da desigualdade, por mais que pareça, discursivamente, uma igualitarização das posições entre patrão e trabalhador, e até porque parece isso mesmo: aceitando discutir no campo do patrão, de acordo com as suas regras e os seus princípios, o trabalhador emaranha-se num mundo em que ele não está em igualdade de circunstâncias, e em que cada aperfeiçoamento aprofunda a sua desigualdade relativamente ao patrão. Só as reivindicações que garantam rupturas transformadoras, ou no mínimo melhores condições para chegar àquelas, são, ele o acabará por perceber, do seu interesse. Até aqui, o trabalhador discute como quem vende discute com um comprador, não como quem produz discute com quem explora. Esta diferença é toda a diferença, quanto mais não seja dada a velhinha divisa do comércio de bairro segundo a qual «o cliente tem sempre razão».  Para assumir seja que estatuto for que lhe garanta autoridade bastante para peitear o antagonista, ao trabalhador só lhe resta, porque joga na casa do outro, porque escolheu assentar na premissa de que lhe vendia alguma coisa e queria essa coisa bem paga, jogar o jogo mais antigo do comércio de todo o mundo: regatear com quem compra para que aceite despender mais. Leiloar-se, portanto. E fazê-lo rigorosamente nos mesmos termos de um leilão qualquer: se o pregoeiro de uma mobília incentiva lances mais altos elogiando-lhe as formas, o desenho, as decorações e a robustez da madeira, o trabalhador terá de se elogiar a si mesmo, bendizer a sua força de trabalho, explicitar a forma como se deixa explorar diligentemente: como chega todos os dias à hora; como nunca falta ao emprego; como nunca se alonga a almoçar; como não pára para tomar café, nem para ir à casa-de-banho, nem sequer para respirar fundo, se disso for caso; como, em suma, apresenta resultados do seu trabalho e procede com correcção (o que, veremos noutro local, significa também proceder despolitizadamente) para com o patrão, fazendo tudo o que este lhe pede. Malhas que o império tece! Para mitigar – nem sequer para se libertar: apenas para mitigar – a sua exploração, o trabalhador começa por… dar provas de que se deixa explorar convenientemente. Por apresentar certificados de bom explorado. Por dizer, alto e bom som, que é pobrezinho mas honesto.
Esta forma de luta, inevitável entre as massas mais recuadas, é o sonho maior do capitalista. Associando o merecimento à honestidade e a honestidade à submissão, transforma os avanços dos trabalhadores em compensações pela subserviência, nunca em vitórias do seu combate. Consagra uma moral pública que permite a caça aos vadios, aos alcoólicos, aos desocupados, aos que «não querem trabalhar»: porque ser explorado determina a partir daqui a própria valia social, e não ser  explorado (nem um respeitável explorador) transforma o desgraçado que em tal estado se veja num homo sacer sobre o qual todas as punições podem legitimamente recair – como em tudo isto se está a observar, com rigorismo, a segmentação da classe, a trabalhar para o patrão, a solidificar os interesses do patrão! E quanto à desigualdade essencial entre partes, como em nada mais, fica aqui bem patente e entranhada no modo como a sociedade funciona: porque se o critério mediante o qual se afere a justiça do que o trabalhador pede é o empenhamento que este deposita na sua própria exploração, então a desigualdade entre classes é mais do que óbvia - é um princípio essencial, uma categoria definidora, uma substância da verdade na inexistência da qual nada faz nenhum sentido.
Aqui se encontra a raiz de um visceral anticomunismo presente em fracções menos politizadas das massas. Aqui se encontra o que sustenta a política de medo-pânico e a impiedosa repressão dos patrões quando se insinua a política nas lutas operárias. Aqui se vê o esteio fundamental da dominação – e se abre a porta para o próximo texto…

http://5dias.wordpress.com/2013/08/01/a-sagracao-da-desigualdade-ii-pobrezinhos-mas-honestos/

terça-feira, julho 30, 2013

João Vilela - O Regresso da «Unidade Moral da Nação»



O Regresso da «Unidade Moral da Nação»

No artigo 6º, 1º, da Constituição de 1933, podia ler-se: «[incumbe ao Estado] Promover a unidade moral e estabelecer a ordem jurídica da Nação, definindo e fazendo respeitar os direitos resultantes da natureza ou da lei, em favor dos indivíduos, das famílias, das autarquias locais, e das corporações». Seriam possíveis páginas e mais páginas de dissecação em detalhe de toda a riqueza e subtileza ideológica inscrita em tão poucas palavras. Hoje, contudo, cingir-me-ei a verificar como a noção de «unidade moral da nação» continua a nortear a actuação política dos agentes da política de direita, maximamente do actual Presidente da República.
Um pressuposto desta «unidade moral» da nação, que de resto é uma pedra angular de qualquer discurso conservador, é o da naturalização da desigualdade social, sob a expressão legitimadora da «hierarquia». O conservador não perscruta as causas históricas, económicas, sociais, da desigualdade social: assume-a como a natureza das coisas, e, mais do que isso, confere-lhe propriedades que a tornam benéfica para a própria sociedade. A igualdade é descrita como desmobilizadora do esforço, como fomentadora da inércia, como destruidora da «motivação» para o trabalho. Se não existissem ricos e pobres, consideram, os pobres não trabalhariam: a posse comum da riqueza social por todos os seus membros geraria indolentes, encostados, preguiçosos: só a posse por poucos dessa riqueza compele os muitos que têm de se esgadanhar para aceder a uma pequena fracção dela a darem-se a tal trabalho. Por outro lado, além desta «justificação» «funcional» da hierarquia, perfila-se uma «justificação» «ética»: a desigualdade é a expressão do resultado do esforço de uns e da indolência dos outros. A riqueza de cada um atesta a capacidade de trabalho que teve, a destreza, a inteligência, a sagacidade, o mérito. Quando somos bombardeados com loas diárias ao empreendedorismo, estamos, fundamentalmente, a revisitar este campo: e isso torna incontornável a heroicização do empresário, hoje tão em voga.
Sagrada que fica a divisão em classes da sociedade (repare-se: essa divisão não é negada nem dissolvida: é justificada!), e «explicada» que está a «razão» «justificativa» da preeminência dos detentores de meios de produção, que papel é o do Estado, sob a lógica corporativa? No que consiste a «unidade moral da nação» depois de termos visto «a natureza» (e, já agora, a lei) estatuir «direitos» de «indivíduos» e «famílias», que o legislador (don’t kill the messenger) se limitou a «definir»? Fundamentalmente, na conservação estrutural da ordem vigente através de mecanismos de (cito directamente a propaganda do regime deposto) harmonização dos interesses de classe. A menos evidente e todavia poderosamente eficaz era a já citada glamourização propagandística dos papéis de classe, com o lambe-botismo ao grande empresário (repetido hoje) e o prestígio dado à Casa Portuguesa onde «a alegria da pobreza/está nesta grande riqueza/de dar e ficar contente». Associava-se a isso uma preocupação caritativa de apoios públicos «a quem precisa» e de crítica desagradada, do próprio Salazar, aos «opulentos», aos «arquimilionários», ao lucro que não era «comedido»: nada a que o Papa Francisco não nos tenha acostumado já. Mas quando não chegavam estes mecanismos, afinal de contenção, e quando não era, ainda, preciso empregar o arsenal dos bufos, dos pides, dos tribunais plenários, dos feijões verdes da Legião, dos polícias-cães e dos cães-polícias, havia a imposição antidemocrática da opção de classe do Estado, pela sobreposição da deliberação administrativa à negociação (aliás, materialmente inexistente) entre os sindicatos nacionais e os grémios, em nome do interesse nacional que este Estado-árbitro julgava e se atribuía o poder de aferir.
Ora, é aqui que reside a razão de ser, incontornável, da antidemocraticidade do fascismo. O Estado, no corporativismo, entregando-se a arbitragem dos conflitos entre classes por se considerar intérprete supraclassista do «interesse nacional», tinha uma legitimidade própria, «orgânica», dentro desta arquitectura social. Os seus agentes não careciam de sufrágio, de ver justificado por ninguém o poder que tinham, de prestar contas, de nada. O Estado era: como o cérebro no corpo, o motor num carro, o cavalo numa carruagem. Sem ele, a lógica das coisas ficava comprometida. A natureza ficava incompleta. Se a sociedade tem uma configuração natural e um andamento inerente a essa configuração, que quem lidera conhece e trilha, o que se fará? Perguntar aos guiados para onde devem ser guiados? Mas acaso o cérebro põe à discussão do fígado, do estômago, das mãos e dos pés, o que lhes cumpre fazer num corpo? Nada: ordena, e eles fazem. Não discutem. Não reflectem. Executam ordens que lhes chegam, e, possivelmente, se lhes fosse dado escolher o seu papel, sem serem merecedores de constar do «escol» cerebral, levariam o corpo, todo ele, à desorganização e à morte.
O que pensam Cavaco, Passos, e os que hoje nos impedem de, indo a votos, solucionarmos os problemas que o país atravessa? Nada de essencialmente diferente, neste ponto. Em situação de conflito entre os interesses dos trabalhadores portugueses e os do imperialismo alemão, o Estado arbitra e decreta o «interesse nacional» de aplicar o memorando da troika, mesmo que o povo se rebele contra ele e as manifestações antitroika encham praças e ruas com centenas e centenas de milhares de pessoas. Isso de nada importa. Intérpretes do interesse da nação (que em nada se distingue, por sinal, do interesse do imperialismo e das fracções da burguesia nacional que dependem dele), aplicam-no sem sentirem dever contas a ninguém e recusando, mesmo em caso de grave crise política, que o povo seja chamado a pronunciar-se. Julgam, aliás, perigosa essa veleidade (e dizem-no): acarretaria insuportável instabilidade, desconfiança dos mercados, seria a desordem e o caos absoluto. O povo não é senhor de definir o que é do seu interesse. O povo submete-se «ao país», mítica abstracção que no fundo significa «quem manda». E o país precisa, porque o Estado interpretou que precisa, de cumprir o memorando. Se o povo se esticar muito, o Estado, em nome do país, descarregará sobre ele os bastões da PSP.
Lenine dizia que só a classe dominante pode falar em nome da nação. Marx recordava que a primeira missão do proletariado revolucionário era tornar-se classe nacional «mas jamais nacional no sentido burguês». Entre nós, esta verdade torna-se cada dia que passa mais agudamente sentida, pelo uso sistemático, recorrente, incessante, do abusivo estribilho do «interesse nacional» subsumindo o interesse dos dominantes. E à medida que o interesse desses dominantes colidir mais e mais com o dos dominados, tanto maior será a cadência repetitiva desta linguagem chauvinista e patrioteira. É contudo verdade que os trabalhadores não desconhecerão muito longamente que quando lhes falam do país, lhes falam acima de tudo do patrão. E quando o compreenderem, todos, e aos esquemas de manipulação e mentira que em nome do patrão lhe vão aplicando, os trabalhadores não abdicarão, ainda aí do país – mas vão querê-lo para si próprios.

  1. De diz:
    Desculpem lá mas estes textos constituem um esqueleto preciosíssimo para uma bagagem ideológica mais funda, mais consistente e mais consolidada.
    Constituem reflexões importantes que abrem fendas enormes no argumentário estereotipado que ouvimos a cada dia que passa aos personagens menores dos propagandistas do regime.
    A “naturalização da desigualdade social”, a inevitabilidade de ricos e pobres ( ou a de exploradores e explorados), a hierarquização e a ostracização, o darwinismo social, os mecanismos de contenção, como as prestações caritativas (já focadas aqui recentemente num post de Frederico Aleixo), ou de repressão , o papel do Estado, a luta de classes…tudo isto e muito mais num texto que é uma pedrada (estruturada) nos discursos conservadores ( mas não só) que por aí se ouvem ad nauseum.

    …chapeau!

    A Sagração da Desigualdade – I: Mérito e Excelência

    running businessman
    «Houve outrora, em tempos muito remotos, uma elite laboriosa, inteligente, e sobretudo poupada, e uma população constituída por vadios, trapalhões, que gastavam mais do que tinham (…) a elite foi acumulando riqueza, e a população vadia ficou, finalmente, sem ter outra coisa que vender além da própria pele». Assim define Marx, n’O Capital, com a ironia que lhe é reconhecida, o mitologema legitimador da dinâmica capitalista. Para os mitógrafos burgueses encarregues da «explicação» «histórica» da exploração do homem pelo homem, da desigualdade, da estruturação da sociedade em classes, em suma, para aqueles que não afirmam sem se rir que «capitalismo sempre houve, chama-se economia» (e sim, eu já ouvi estas e piores) e pretendem, toscamente que seja, adiantar uma explicação simultaneamente funcional e ética para a desigualdade social do mundo em que vivemos. Como indicia a imagem que ilustra este texto, o mito presume (mas nunca indica onde está nem quando foi) um determinado ponto na história em que todos os homens estavam em rigorosíssima igualdade de circunstâncias, salvo as «naturais» diferenças entre fracos e fortes, espertos e parvos, belos e feios, e demais aspectos de igual primarismo. Começou aí, não se sabe bem por que tiro de partida dado talvez por Deus, uma corrida de cem metros opondo todos os seres humanos nascidos até então, e até hoje: alguns de nós terão dedicado a essa corrida o melhor de si, suplantado dificuldades, inventado forças, ignorado sofrimentos, e com o poder de uma vontade férrea terão chegado longe; outros, por indolência ou atrapalhação, mas no fundo por incapacidade, terão preguiçado, mostrado insuficiência, inevitavelmente ficado pelo caminho. Ninguém tem para culpar por isso se não a Mãe Natureza ou, no limite, a si próprios. O seu estatuto social é natural, como a cor dos olhos ou a altura que tiveram. Podem, com dedicação e trabalho, eventualmente mudá-lo, assim como se emagrece fazendo dieta ou se ganha músculo indo ao ginásio. A menos que a sua seja uma genética condenada, circunstância em que, por mais voltas que dêem, nada poderão fazer.
    Gostem ou não disso, dos pretensos teóricos que hoje em dia se socorrem desta mitologia, quando já não é fino nem de bom-tom ser-se religioso, estão, no fundamental, a reproduzir a tese da doutrina social católica quanto ao fundamento moral da propriedade e da hierarquia social. A Rerum Novarum, encíclica do Papa Leão XIII que funda a citada doutrina, afirma, com pretensões de seriedade, aquilo que Marx refere de forma jocosa: «como é fácil compreender, a razão intrínseca do trabalho empreendido por quem exerce uma arte lucrativa, o fim imediato visado pelo trabalhador, é conquistar um bem que possuirá como próprio e como pertencendo-lhe; porque, se põe à disposição de outrem as suas forças e a sua indústria, não é, evidentemente, por outro motivo senão para conseguir com que possa prover à sua sustentação e às necessidades da vida, e espera do seu trabalho, não só o direito ao salário, mas ainda um direito estrito e rigoroso para usar dele como entender. Portanto, se, reduzindo as suas despesas, chegou a fazer algumas economias, e se, para assegurar a sua conservação, as emprega, por exemplo, num campo, torna-se evidente que esse campo não é outra coisa senão o salário transformado: o terreno assim adquirido será propriedade do artista com o mesmo título que a remuneração do seu trabalho. Mas, quem não vê que é precisamente nisso que consiste o direito da propriedade mobiliária e imobiliária?». Poderíamos ouvir qualquer João César das Neves, qualquer Cantiga Esteves, qualquer João Duque dizer semelhante coisa. Isto é, quanto a eles, historiografia assente. Nem mais, nem menos. Ainda há dias, J. Beleza dizia na TV que «a concorrência é o maior factor de desenvolvimento desde que o mundo é mundo». É aliás de crer que a gregariedade humana, que lhe vem dos seus antepassados hominídeos, se funda puramente no desejo irreprimível da gabarolice e da competição, de mostrar ao Neandertal do lado uma caverna melhor, como hoje se esfrega na cara dos vizinhos o carrão que se acabou de comprar.
    Esta é todavia das maquinações que em menos se assemelham ao que quer que se saiba sobre a história e a antropologia. Nada podia ser mais rotundamente anticientífico do que este postulado. Sem me alongar muito, esta ideia ignora, em gala, o que quer que seja sobre o processo de divisão social do trabalho, a começar pela repartição de funções sociais entre géneros e a acabar na influência da patria potestas e da conquista militar na definição radical de papéis sociais inultrapassáveis; escamoteia a ulterior autonomização social do estamento dos guerreiros, e o estabelecimento por eles de situações de dominação da sociedade como um todo; faz de conta que não sabe do resultado do desenvolvimento do comércio, posterior a esta prévia divisão, rígida, das sociedades, na consagração de uma clique de comerciantes-prestamistas que ombreavam com os guerreiros e, em aliança ou frontal combate, disputavam com eles a exploração dos desapossados; desconhece o processo histórico de esbulho dos escassos haveres dos minifundistas correlativos à ascensão social da burguesia a partir do séc. XVI, com cercamento de terras comuns, expulsão de camponeses das suas aldeias, prisão e subjugação a trabalhos forçados dos que, sem emprego, tinham de vadiar, emprego do poder de Estado na sua deslocação forçada para outras regiões, legitimação das relações de força desproporcionadas entre classes – nada disso interessa. Isso, clamam irracionalistamente, são «desculpas». E o que visam com isto é claro e transparente: a um tempo, individualizar os comportamentos sociais, tornando-os atitudes de pessoas específicas e não de classes (e menos ainda de classes em luta), e, por outro lado, estabelecer a base sobre a qual o lucro e a exploração resultam do senso comum. Vejamos o que visa o primeiro e como nasce dele o segundo.
    Num curioso movimento dialéctico, a desclassização que o discurso individualista empreende promove quer a consciencialização de uma classe (e a sua predisposição para se aliar com os dominantes), quer a desmobilização de outra. A classe cuja consciencialização se procura, como se percebe, é a pequena burguesia: a ela sim, e a ninguém mais, se aplica o mitologema da força da vontade na ascensão social, e mesmo aí, uma ascensão precária, titubeante, ao arrepio das dinâmicas estruturais do capitalismo, sujeita a rápido desaparecimento como atestam as falências de PMEs desde o começo da crise. Poupando salário abre-se uma mercearia, nunca uma SONAE. Mas estabelece-se a impressão – que o capitalismo em crise cedo prova ser nada mais que uma impressão – que entre o merceeiro de bairro e o merceeiro Belmiro de Azevedo a diferença é, meramente, de grau. E com isso se leva para o lado dos dominantes estes sectores intermédios, por mais que o engrandecimento desses sectores dominantes seja, a prazo, a morte das tais classes intermédias. Quanto aos trabalhadores, pouco é preciso explicar: promove-se desta forma a sua desunião, vende-se-lhe o sonho ilusório de resolver o seu problema individual tornando-se burguês, e não o problema colectivo da sua classe, fazendo, com ela, a revolução. E de caminho retarda-se a sua consciencialização, deslegitimando junto dele a classe a que pertence, e associando o bom e o belo a quem pode e manda.
    Ao mesmo tempo, descarnada da sua estruturação em classes e reduzida a organização associativa de indivíduos livres, a sociedade assim inventada pelo discurso burguês justifica todas as suas práticas e desobriga-o de toda a moralidade. Não existe correlação de forças, desigualdade de circunstâncias, coordenação grupal. Nada. O proletário que discute quanto ganha com quem o contrata é um homem livre perante um homem livre. O inquilino que discute a renda com o senhorio, outro homem livre perante outro homem livre. O pequeno produtor que vende cebolas ao Belmiro de Azevedo, também ele um homem livre, como homem livre é Belmiro de Azevedo – estranhamente, a margem de manobra do homem livre Belmiro é prodigiosamente maior que a do não menos homem livre merceeiro de esquina que lhe sucede na fila para negociar com o produtor agrícola…
    Se as relações forem puramente individuais, o que resulta de benefício ou de prejuízo para cada parte é fruto, estritamente, da sua capacidade negocial. E aqui voltamos à corrida de 100 metros, à natureza, à responsabilidade individual única e exclusiva. O que é o lucro? Mérito, excelência. O que é o sucesso? Mérito, excelência. O que dita a posição social? O mesmo. É tudo muito fácil e claro quando a descrição da sociedade é assim feita. Fácil e claro, sim. Verdadeiro, bem pouco.
    [NOTA: escreverei quatro textos sob o título «A Sagração da Desigualdade». O de amanhã chamar-se-á «Pobres mas honestos»]

    Sobre João Vilela

    Professor de História da Arte algures na cidade do Porto, licenciado em História e mestre em História e Educação, portista e comunista, falo de política, economia, educação, cultura, e, se me der na veneta, até de nudez feminina. Este blogue é para me entreter, e contará com «a little help from my friends» volta e meia.
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    23 respostas a A Sagração da Desigualdade – I: Mérito e Excelência

    1. André Carapinha diz:
      Excelente texto. Está cá tudo, limpinho, limpinho. Aguardo ansiosamente pelos outros, e deixo desde já o meu elogio ao João Vilela, grande aquisição para o 5 Dias.
    2. De diz:
      Não é só o conteúdo, é também a forma.Não é só esta ,é sobretudo aquela. Notável.
      … é um prazer ler textos com cabeça,tronco e membros,pedagógicos na forma, também instrumentais na acção, que nos conduzem ao exercício da inteligência e do pensar.
      Uma janela aberta para se respirar um pouco de ar não poluído.
      ( não…não me canso de o repetir)
    3. Nuno Cardoso da Silva diz:
      Pode-se brincar com a doutrina social da Igreja, mas é essa Igreja que há quase duzentos anos vem dizendo que o direito de propriedade não é absoluto, é relativo, e está condicionado ao proprietário colocar essa propriedade ao serviço da comunidade, não guardando do seu produto para si senão o que é necessário ao seu sustento. A Rerum novarum pode ainda ser um pouco ambígua, mas a Populorum progressio, de Paulo VI, já não deixa sobre a matéria muitas dúvidas a quem quer que seja. Se há figuras da Igreja que foram – e são – cúmplices da burguesia, já a doutrina da Igreja é altamente crítica do capitalismo e da exploração que ele engendra. Não é preciso ser-se católico – e eu não sou – para se reconhecer a posição crítica da Igreja face à exploração capitalista. Agora não se espere é que a Igreja encabece tomadas da Bastilha ou do Palácio de Inverno… Embora tenha havido sacerdotes seguidores da teologia da libertação que andaram lá bem perto, como Camilo Torres.
      • A crítica, terá percebido, não é dirigida à doutrina social católica (de que discordo, mas que nem me aquece nem arrefece): uso apenas a explicação, soi disant, que essa doutrina convoca para fundamentar a desigualdade social, e que em meu entender é igual em tudo à que os economistas liberais usam e que, em qualquer dos casos, não tem ponta por onde se lhe pegue.
        • Nuno Cardoso da Silva diz:
          É curioso, porque a Igreja considera que só o trabalho cria valor, o que está um pouco longe das doutrinas liberais. Não convém pegar da doutrina católica apenas aquilo que nos dá jeito para a criticar porque em muitos aspectos – como a teologia da libertação demonstrou – ela pode ser tão radical e revolucionária como o marxismo mais duro. Volto a dizer que não sou católico, mas o catolicismo, quando é coerente, é verdadeiramente revolucionário nas questões económicas e sociais. Por isso o reacionário do Ratzinger não descansou enquanto não silenciou os teólogos da libertação.
          • Eu escuso-me de repetir que não critiquei a doutrina social católica, que por sinal não me aquece nem me arrefece, mas tão-só a sua concepção e explicação das origens da propriedade privada. Se quer discutir doutrina social católica com quem a critica, dirija-se ao guiché ao lado.
            • Nuno Cardoso da Silva diz:
              Da Doutrina Social da Igreja:
              “O direito à propriedade privada subordina-se ao princípio da destinação universal dos bens e não deve constituir motivo de impedimento ao trabalho e ao crescimento de outrem. A propriedade, que se adquire antes de tudo através do trabalho, deve servir ao trabalho. Isto vale de modo particular no que diz respeito à posse dos meios de produção; mas tal princípio concerne também aos bens próprios do mundo financeiro, técnico, intelectual, pessoal.”
              “Deus destinou a terra e tudo o que ela contém para o uso de todos os homens e de todos os povos, de sorte que os bens criados devem chegar eqüitativamente às mãos de todos, segundo a regra da justiça”
              Se queria referir-se à doutrina da Igreja quanto à propriedade privada, talvez valesse a pena procurar com mais cuidado…
            • Homem, você é chato. Eu especifiquei claramente que criticava a teorização daorigem da propriedade, não da sua função social, na DSC. E pela terceira vez lhe digo: nem critiquei essa doutrina, nem estou para a discutir. Quer, fale do fulcro do texto. Não quer, deixe-me sossegado!
            • Nuno Cardoso da Silva diz:
              Eu sei bem qual é a origem do incómodo. É que enquanto na década de sessenta, na América Latina, a maioria dos comunistas ficou sentada à espera que a revolução burguesa se consolidasse para só depois promover a revolução proletária, os padres defensores da teologia da libertação estavam no terreno a organizar e a alfabetizar os mais pobres, a lutar sem concessões contra a exploração oligárquica capitalista. Eram eles que exigiam a entrega da terra aos camponeses, e não os partidos comunistas locais. É por isso que discutir a doutrina social da Igreja e a subsequente teologia da libertação incomoda alguns. Porque esta póe em causa a ficção do monopólio do materialismo histórico na luta contra a exploração e o capitalismo.
            • Não, o incómodo procede mesmo do apego patético a um ponto lateral do post e à forma desonesta como as minhas respostas aos seus comentários foram contraditadas por si. Mas enfim, acabemos com isto. Passe bem.
      • Carlos Carapeto diz:
        E essa igreja tem cumprido com o que lá tem escrito?
        O Vaticano é um dos Estados mais ricos do mundo, no entanto suga benesses e isenções até aos países mais miseráveis.
        Por outro lado o bem que a igreja pratica é fazendo caridade, caridade essa que tem apenas como finalidade tornar as pessoas subservientes aos seus dogmas.
        Nunca a igreja em tempo algum se interessou por combater as causas que provocam a pobreza e as desigualdades sociais.
        Interessa-lhe o perpetuar dessa situação. Verga as pessoas por o estomago, doma-lhes a mente, captando dessa forma mais militantes para as suas fileiras e evitando conflitos sociais.
        E qual foi o tratamento que a igreja reservou a muitos teólogos da libertação que se atreveram ir para além das regras doutrinarias estabelecidas ?
        Leonardo Boff, Ernesto e Fernando Cardenal por exemplo.
        Camilo Torres ao contrario destes decidiu pegar em armas.
        • Nuno Cardoso da Silva diz:
          O problema não está se, no seu todo, a Igreja foi fiel à sua doutrina. Todos sabemos que não foi. O importante é constatar que há outras formas de lutar contra a exploração, a opressão e o capitalismo, e que uma dessas formas resulta de uma leitura coerente da doutrina da Igreja. A teologia da libertação é a prova de que é possível desenvolver-se essa luta pelos oprimidos a partir de princípios que nada têm a ver com a leitura marxista. O que não invalida a importância da análise marxista mas lhe retira o carácter de única via para a libertação dos povos. É até particularmente importante verificar-se que marxistas e teólogos da libertação, com pontos de partida muito diversos, conseguem um grau interessante de convergência nas soluções. É verdade que a Igreja oficial maltratou os teólogos da libertação, mas não os aniquilou. E o actual Papa até pode vir a abrir de novo a porta às experiências dos teólogos da libertação. O que, espero, não incomode excessivamente os marxistas, porque é pelas duas vias que se poderá liquidar a exploração capitalista.
    4. Carlos Carapeto diz:
      Muito obrigado João Vilela por o esforço que fez em esclarecer-me.
      É o que posso acrescentar às palavras elogiosas que os outros participantes escreveram.
    5. João diz:
      Isto agora já cheira m bocadinho a “sopas depois de almoço” ou a “Maria vai com as outras”, mas mesmo correndo e sabendo que ele é grande, não posso deixar de me juntar a todos os que o elogiaram. Parabéns, quanto a essa produção.
      Interessantes e honestas me parecem também as posições – sua e do Nuno Cardoso da Silva – no que respeita à doutrina social da Igreja. Em tempos de transicção (e nós estamos nesse tempo) perscrutar em todas as portas, janelas e frestas, parece-me vital. Mas isto, sem me desviar do propósito essencial, que é dar-lhe os parabéns.
    6. RG diz:
      Esquecem-se alguns historiadores que houve mais evolução e desenvolvimento humano em sociedade cooperativas do que quando passaram à matriz competitiva.
      • Carlos Carapeto diz:
        Na muche!
        A burguesia tem medo do povo e dos trabalhadores organizados, por esse facto dificulta ou nega o apoio à formação de Cooperativas de iniciativa popular.
        • Nuno Cardoso da Silva diz:
          Talvez seja altura dos trabalhadores dispensarem as autorizações ou apoios da burguesia e avançarem de motu proprio para a criação de cooperativas e para a transformação de empresas capitalistas em empresas cooperativas. E poder-se-ia começar pela ocupação de empresas em vias de encerramento, impedindo o desmantelamento dos seus activos e continuando a produzir, agora sob controlo dos próprios trabalhadores.
        • RG diz:
          Nem referia tanto a cooperativas enquanto modo de organização da produção (aliás estas podem ser tão competitivas com uma vulgar empresa) mas sim ao modo como as sociedades, na história, se organizaram para satisfazer as necessidade básicas e comuns, reproduzindo-se pelo trabalho cooperativo, por divisão igualitária do produto comunitário.
    7. JgMenos diz:
      Muito mais me entusiasmaria lê-lo sobre a ‘sagração da igualdade’.
      Onde e quando esse mito foi, não só realidade, como factor de progresso material e cultural!
      Talvez me abalasse a convicção de que quem sempre menoriza o individualismo muito ambiciona que outros por si muito façam!